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Photographie | Régions froides | Mammifères herbivores | Botanique | Peinture | Neige | hiver | Blanc | Gnous | Slikke | Tibet (Chine) | Galop | Johannesbourg (Afrique du Sud) | Plaine | Estran | Schorre | Plateaux (géographie) | Québec (Canada) | Réserves nationales | Jaune | ...
Carte de la Mer Blanche. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e74d09-carte-de-la-mer-blanche

Carte de la Mer Blanche

Carte du XVIIIème siècle de la Mer Blanche avec la Dvina, par Samuel Thornton, cartographe anglais du XVIIIème siècle. La mer Blanche s'étend sur 95 000 km2 au nord-ouest de la Russie, au sud de la mer de Barents ; elle constitue une dépendance de l'océan Arctique. L'été y dure de début juin à fin août. Mais dans la partie nord de la mer, il ne dépasse pas un mois et demi. Sa température évolue de 0,5° C à –2 °C l'hiver et de 12 °C à 15 °C l'été. Les glaces apparaissent dès octobre et forment des champs de glace à partir de la mi-novembre. Les animaux des régions polaires viennent alors s'y réfugier : le phoque du Groenland, le chien de mer et le veau marin. La fonte des neiges commence en avril et les glaces disparaissent en mai. Mais, à cause des vents du nord, on peut rencontrer des « glaçons » flottants jusqu'à fin juin. Au printemps, sous l'action des vents du sud et des courants, des animaux sont emportés sur leur morceau de glace vers l'Océan. Ils sont alors abattus par les habitants de la côte qui se déplacent dans des canots à patins. Le port important d'Arkhangelsk se trouve sur la mer Blanche. Pendant une bonne partie de l'histoire de la Russie, ce fut le principal centre de commerce international maritime. À l'époque moderne, ce port est devenu une base navale et sous-marine soviétique.

Forêt de chênes en hiver. Source : http://data.abuledu.org/URI/5064aa91-foret-de-chenes-en-hiver

Forêt de chênes en hiver

Forêt de Chênes pédonculés (Quercus robur) taillés par le pâturage à Langå, au Danemark. Image prise par un jour très froid de janvier, avec du brouillard givrant.

Igloo. Source : http://data.abuledu.org/URI/503a60ad-igloo

Igloo

Photo d'un igloo

Arabette des Alpes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad26cb-arabette-des-alpes

Arabette des Alpes

Arabette des Alpes (Arabis caucasica), D'après les aquarelles de Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. Le nom d'« arabette » fait référence au fait que ces plantes affectionnent les sols sablonneux, qui font penser au désert d'Arabie. Leur aire de répartition couvre l'ensemble des régions tempérées et froides de l'Eurasie. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Arabette

Carte de la réserve du Cap Tourmente au Québec. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fde64f-carte-de-la-reserve-du-cap-tourmente-au-quebec

Carte de la réserve du Cap Tourmente au Québec

Carte de la réserve du Cap Tourmente au Québec en bordure du St Laurent. La réserve du cap Tourmente couvre 2 396 ha sur les berges de l'estuaire du Saint-Laurent à la rencontre des régions géologiques des basses terres du Saint-Laurent et du plateau laurentien16. La rencontre de l'escarpement du plateau et des premiers kilomètres de l'estuaire du fleuve provoque un microclimat où l'hiver est légèrement moins froid, mais plus humide que dans les régions avoisinantes et l'été plus frais. On identifie quatre éléments géomorphologiques sur la réserve : la batture ou l'estran, la plaine, la plateau laurentien et, à la jonction du plateau et de la plaine, la zone de contact. 1) L'estran se compose de la slikke, de la haute slikke et du schorre. Une microfalaise d'environ un mètre sépare la slikke du schorre. Le marécage côtier est établi sur le schorre. La slikke et le schorre sont traversés de chenaux de marée par où s'écoulent les eaux lors du jusant. La haute slikke est la zone colonisée par le Scirpe d'Amérique et forme ainsi le marais intertidal. Un talus de plusieurs mètres sépare le schorre de la plaine. 2) La plaine s'insère entre l'estran et le plateau laurentien. La plaine, qui repose sur un substrat de shale d'Utica, est structurée en quatre terrasses façonnées par le retrait en phases successives de la mer de Goldthwait. Les dépôts de sédiments laissés par la mer ont rendu les terres très fertiles pour l'agriculture. 3) Le plateau laurentien avec l'escarpement qu'il engendre constitue un trait marquant du paysage de la réserve. Certaines falaises ont un dénivelé vertical de presque 100 mètres et le point le plus haut de la réserve s'élève à 571 mètres d'altitude. 4) La zone de contact est constituée par un amalgame des éléments de la plaine et du plateau. L'érosion (érosion fluviale, éboulis) entraîne vers le bas du versant pierres, sédiments et minéraux caractéristiques du plateau qui s'amoncellent avec les sédiments et la roche sédimentaire propres à la plaine.

Cassis. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a3b0a5-cassis

Cassis

Le cassis est le fruit et le nom d'un arbrisseau, le cassis ou groseillier noir (Ribes nigrum) de la famille des Grossulariacées, originaire de l'Europe septentrionale, poussant spontanément dans les régions montagneuses et froides de la zone paléoarctique. Les fruits du groseillier noir sont des baies le plus souvent noires formant des grappes, pulpeuses, à la peau lisse, fortement aromatiques, surmontées des restes des calices des fleurs dont ils sont issus. Le cassis est utilisé principalement par les industries de transformation (liqueur, sirop, gelée, parfum). Son jus aigrelet est épais, tirant sur le violet. Il est riche en tanins, en arômes, en vitamine C2 et en vitamine C (de 100 à 300 mg/100 g). Avec le cassis, on peut réaliser des gelées, des confitures, des tartes avec d'autres fruits rouges ou en charlotte, et des sorbets. On peut aussi le consommer de manière liquide, avec la célèbre crème de cassis que l'on utilise pour faire les kirs, du nectar (très apprécié en Bulgarie), des sirops, des liqueurs, de la purée ou du coulis.

Gnou noir à queue blanche au galop. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d41e2-gnou-noir-a-queue-blanche-au-galop

Gnou noir à queue blanche au galop

Le gnou noir (Connochaetes gnou) ou gnou à queue blanche est une espèce de gnou de la famille des bovidés qui semble ne plus exister à l'état sauvage que dans les réserves d'Afrique du Sud où sa population est stable voire croissante. Très grégaire, il vit en troupes importantes de 10 à 50 individus. Les gnous à queue blanche ont un pelage marron chocolat. Il possède une barbe et une crinière touffue, cependant cette dernière est dressée contrairement à celle du gnou bleu. Cette crinière est blanche et noir à l’extrémité. Ils sont reconnaissables également avec la touffe de poils qu’ils portent sur l’arrête du nez. Son pelage est plus épais que celui du gnou bleu, car il peut habiter des régions plus froides, il fait donc une mue au printemps. La queue longue de 80 à 100 cm est toujours blanche. Ses cornes courbés et pointés vers l'avant comme un guidon sont bien développés et peuvent mesurer de 50 à 80 cm. Les gnous à queue blanche sont de taille plus réduite que le gnou bleu, leurs corps mesurent de 170 à 220 cm de longueur, pour 100 cm à 120 cm de hauteur au garrot (1.10 m en moyenne) et un poid allant de 110 à 180 kg maximum, avec une moyenne de 130 kg pour les femelles et de 160 kg pour les mâles. Ruminant, herbivore, le gnou à queue blanche se nourrit principalement d'herbes, de feuilles de buissons et d’arbustes. Il est capable de ne pas boire pendant une semaine. Les gnous à queue blanche peuvent parfois se faire attaquer par les lions, les hyène brunes, les léopards, les lycaons et les crocodiles. Le gnou à queue blanche est une antilope, avec ses membres longs et fins, il peut courir jusqu'à 90 km/h pour échapper à ses prédateurs. De plus, il n'hésite pas à charger s'il se sent menacé.

Pissenlits en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/514cb279-pissenlits-en-fleurs

Pissenlits en fleurs

Pissenlits (Dandelion) : fleurs et aigrettes. Pissenlit (ou Dent-de-lion) est un nom vernaculaire ambigu en français. On appelle « pissenlit » diverses plantes à tige généralement creuse et dont l'inflorescence est un capitule plat et jaune. Ce capitule est généralement à fleurons ligulés. C'est la couleur jaune du capitule et sa forme plate qui déterminent généralement l'emploi du nom « pissenlit » pour désigner telle ou telle espèce. Les pissenlits « véritables » sont des espèces du genre Taraxacum. Des espèces d'autres genres de la famille des Asteraceae peuvent prendre néanmoins ce nom vernaculaire. traditionnel de souffler dessus pour les voir s'envoler. Ce sont des plantes vivaces, de plein soleil ou mi-ombre, à racine charnue pénétrant profondément dans le sol (plus de 50 centimètres), ce qui leur permet de résister au gel intense des régions froides (Russie, Canada). Dans ces régions, la partie aérienne meurt à la fin de l'automne, mais repousse dès la fonte des neiges, et la floraison survient une vingtaine de jours après la repousse ; une autre floraison de moindre importance se produit parfois en fin d'été.

Renne. Source : http://data.abuledu.org/URI/504f3105-renne

Renne

Appelé au sein de la francophonie renne ou caribou, Rangifer tarandus est un cervidé des régions arctiques et subarctiques de l'Europe, de l'Asie et de l'Amérique du Nord. Plusieurs milliers de rennes ont été également introduits dans l'archipel sub-antarctique des îles Kerguelen où ils vivent désormais à l'état sauvage. Le renne est adapté à des environnements extrêmes, froids, acides et pauvres (en termes de productivité biologique)

Toile d'araignée en filet. Source : http://data.abuledu.org/URI/519dce0a-toile-d-araignee-en-filet

Toile d'araignée en filet

Toile d'araignée en filet un matin d'automne. Les Linyphiidae sont des araignées de très petite taille. La famille est beaucoup plus diversifiée dans les régions froides. Ses membres tissent des toiles en nappe, sans retraite, éventuellement surmontée d'un réseau enchevêtré, sous laquelle se tient l'araignée en position renversée. Elles font souvent des « fils de la vierge » au bout desquels elles se déplacent.

Yak sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c720b-yak-sauvage

Yak sauvage

Yak sauvage (Bos grunniens) à Letdar (Circuit de l'Annapurna au Népal). Le yak vit dans et autour de la chaine de l'Himalaya ; Népal et au Bhoutan, en Chine (Tibet, Xinjiang, Gansu, Mongolie intérieure), ainsi qu'en Mongolie, Russie, Kirghizstan, Kazakhstan, Pakistan, Tadjikistan, Afghanistan, jusqu'à des altitudes de 5 400 mètres. Les yaks vivent quinze ans en haute altitude au-dessus de 3 000 mètres. Le yak sauvage, uniquement présent au Tibet, est plus grand que le yak domestique, pouvant peser jusqu'à une tonne. Il vit habituellement en groupes de 10 à 30 individus. Son habitat est composé de hauts-plateaux dégarnis, de collines et de montagnes à des altitudes comprises entre 3 200 et 5 400 mètres. Il se nourrit d'herbes, de lichens et d'autres plantes. Durant la saison chaude, il vit dans les régions proches des neiges éternelles ; puis descend vers des terres au climat plus clément lorsque la saison froide approche. Le yak peut affronter le froid jusqu'à - 40 °C aussi bien grâce à son sous-poil très dense que par son long et épais pelage de surface. Par ailleurs, il secrète une substance visqueuse dans sa transpiration qui agit comme un isolant au froid. Cette substance est utilisée en médecine traditionnelle au Népal. Le yak sauvage a la vue très faible mais compense ce handicap par un odorat particulièrement développé et surtout une ouïe incroyable qui lui permet d'entendre à plusieurs kilomètres de distance. Le yak sauvage n'existe plus que dans les chaînes de montagnes du Kunlun, de Thangla et de Nyenchen Thangla, ainsi que sur le plateau du Tibet. L'espèce est menacée : la population totale actuelle est estimée à 15 000 animaux.